This site is dedicated to a genius : John Cantius Garand
Ce
site est dédié à un génie de la mécanique : John Cantius Garand.
Auteur
de ce blog et heureux propriétaire de cette arme magnifique, accompagnée de sa
détention légale pour la pratique du tir sportif, la construction du site n'a
été guidée que par un souhait : exposer mon expérience personnelle après
plusieurs années en compagnie du M1 Garand, donner quelques conseils le plus
simplement possible, faire partager mes modestes connaissances.
Utiliser
un fusil ancien, un "vétéran" de la seconde guerre mondiale, est passionnant
mais demande quelques précautions.
Internet
permettant de se documenter il est donc inutile de répéter ici voire de copier
les travaux réalisés par d'autres ! Il était ensuite impossible d'être
exhaustif sur un sujet aussi vaste...
Nous
renvoyons à l'excellent ouvrage en français de Bruce Malingue, qui fait
aujourd'hui autorité sur le sujet, ainsi qu'aux spécialistes américains que
sont Scott Duff ou Bruce Canfield.
Quelques extraits de ce blog :
Libéré de sa dimension morbide, le goût des armes et du tir se transforme en loisir, ce qu'il faudrait souhaiter qu'il demeure si les hommes ne passaient pas une partie de leur temps à se trucider...
Caresser le bois de la crosse aussi douce que du velours grâce à l'huile de lin qui nourrit ses fibres s'avère aussi sensuel que tenir un verre de vieux whisky, regarder un feu de bois, sentir un tabac de Virginie.
Caler la plaque de couche dans sa main gauche, nichée au creux de l'épaule droite, la joue plaquée contre le noyer d'Amérique, sentir la communion totale du corps et de son prolongement est un instant unique et magique, qui précède le son enveloppant de la détonation, l'odeur sucrée et poivrée à la fois de la charge... qui vous surprend, le coeur battant, prêt au prochain coup sans faillir ni quitter votre visée... le temps alors semble flotter.
UN SITE EN PARTIE BILINGUE
Quelques extraits de ce blog :
Libéré de sa dimension morbide, le goût des armes et du tir se transforme en loisir, ce qu'il faudrait souhaiter qu'il demeure si les hommes ne passaient pas une partie de leur temps à se trucider...
Caresser le bois de la crosse aussi douce que du velours grâce à l'huile de lin qui nourrit ses fibres s'avère aussi sensuel que tenir un verre de vieux whisky, regarder un feu de bois, sentir un tabac de Virginie.
Caler la plaque de couche dans sa main gauche, nichée au creux de l'épaule droite, la joue plaquée contre le noyer d'Amérique, sentir la communion totale du corps et de son prolongement est un instant unique et magique, qui précède le son enveloppant de la détonation, l'odeur sucrée et poivrée à la fois de la charge... qui vous surprend, le coeur battant, prêt au prochain coup sans faillir ni quitter votre visée... le temps alors semble flotter.
UN SITE EN PARTIE BILINGUE
Si
nos amis américains ont su construire cette arme légendaire et même si
l'on doit à la vérité de dire que John Cantius Garand, d'origine canadienne,
avait des ancêtres français, ils restent toujours les meilleurs tireurs et
aussi les plus grands collectionneurs. J'ai donc choisi une page d'accueil en
anglais pour ce site.
J'espérais
ainsi attirer l’attention outre-Atlantique.
Ce
qui fût fait en la personne des deux meilleurs spécialistes de la question,
Bruce Canfield et Scott Duff, qui ont tous deux remarqué mon travail et m'en
ont félicité, alors que les français, mis à part les deux illustres Dominique Venner et Bruce Malingue, sont en général restés silencieux : en France "l’autre" est d'abord un ennemi ou un concurrent potentiel.
Ces
messages amicaux venus pourtant des meilleurs m'ont conforté dans cette démarche.
La France est d'autre part résolument anti-armes suite à de
douloureux épisodes politiques et historiques sur lesquels il serait un peu
long de s'étendre et que nous résumerons en seul événement : nous avons perdu
la guerre.
On pourrait compléter ces raisons par le rappel de 4 ou 5 révolutions en 200 ans et les événements violents des années 30 qui ont décidé les gouvernements successifs à ôter leur flingues aux citoyens un peu trop enclins à s’en servir pour un sport qui se pratique au printemps : le combat de rue.
Un paradoxe nouveau est apparu : les tireurs sportifs sont ultra-contrôlés, voire toujours suspects aux yeux de la population, alors que dans nos grandes villes de petits délinquants sont équipés de redoutables fusils d'assauts... Préfiguration d'un futur "Frankistan" ?
On pourrait compléter ces raisons par le rappel de 4 ou 5 révolutions en 200 ans et les événements violents des années 30 qui ont décidé les gouvernements successifs à ôter leur flingues aux citoyens un peu trop enclins à s’en servir pour un sport qui se pratique au printemps : le combat de rue.
Un paradoxe nouveau est apparu : les tireurs sportifs sont ultra-contrôlés, voire toujours suspects aux yeux de la population, alors que dans nos grandes villes de petits délinquants sont équipés de redoutables fusils d'assauts... Préfiguration d'un futur "Frankistan" ?
Notons
enfin que lorsque l'on communique avec nos amis américains par internet, ils
n'ont jamais la "grosse tête" ! Ils répondent gentiment,
chaleureusement, s'ils trouvent qu'il y a lieu de le faire.
Les "français", terme devenu équivoque, répondent rarement…
Je les
soupçonne d'être en train de perdre d'autres guerres comme celle de la
communication.
Des preuves ? Allez aux Etats-Unis et commandez un café et des oeufs dans
n'importe quel coffee shop : vous serez servi aimablement.
Commandez
ensuite un café à Paris après quelques heures d'avion, vous verrez la
différence.